Depuis de nombreux mois, j’avais le désir de vivre deux jours de Woaching avec François et Marc. D’abord, parce depuis que je pratique le Woaching en tant que coach, j’avais envie de le pratiquer une fois en tant que participant. Et ensuite parce que j’étais curieux de me laisser conduire par ce tandem de deux frères, l’un coach et l’autre thérapeute.
Alors, encore sous la pression de plusieurs semaines de travail intenses, me voilà en voiture avec deux participantes sur la route escarpée qui conduit dans le Valgodemard, sans savoir bien à quoi m’attendre d’autre que le fait que je vais marcher et échanger avec des personnes que je ne connais pas.
Il m’aura fallu un peu de rodéo intérieur au démarrage pour déconnecter et lâcher prise de la pensée de mon travail, mais je n’ai pas été déçu !
Nous avons marché à toute heure du jour et même un peu de nuit.
Nous avons marché parfois seuls, en lien avec les éléments naturels dans lesquels nous étions baignés.
Nous avons marché parfois en binôme pour parler et écouter en profondeur, et parfois aussi en groupe pour partager quelques bijoux précieux.
Nous étions conduits avec ce qu’il faut d’assurance pour se sentir en sécurité, et avec ce qu’il faut de douceur pour se sentir libres.
Nous étions délicatement guidés tantôt par le coach et ses métaphores et tantôt par le thérapeute et ses questions puissantes.
Et la magie du Woaching a opéré ! Elle fut enrichie par l’écrin de la maison familiale ouverte en mode refuge !
J’ai rencontré de si belles personnes qui m’ont permis d’éclairer mon chemin sous la lumière de leurs « lampes de poche » en sortant un peu du halo de mon « lampadaire ». (Voir l’article sur ce sujet sur le blog: https://www.woaching.fr/post/la-force-du-woaching-en-groupe-pour-éclairer-son-chemin)
Un très grand merci à Marc et François pour ce week-end que nous avons pu vivre grâce à leur générosité débordante, leur professionnalisme attentionné et leur simplicité rendant tout accessible.
Enfin, un immense merci à François de nous avoir chaleureusement offert le gîte dans sa maison dont l’âme est si vivante. Denis AUBRON
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