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Photo du rédacteurDenis Aubron

Cessons de courir, allons marcher...


Précédemment, je vous contais combien l’expérience du Woaching a été une découverte pour moi.


Tout cela ne vient pas de nulle part !

Chaque leader, chaque manager, se pose cette éternelle question : Comment pourrait-il donner le meilleur de lui-même au bénéfice de la visée commune ?


A 57 ans (c’est demain 😉 ), j’ai assez perdu de cheveux pour croire que je peux affirmer :


Des années d’observation, de perception et d’échanges, et un peu d’étude, me font croire de manière assez définitive que : LE PLUS HUMAIN EST LE PLUS EFFICACE… ET DE LOIN !!!


Mon expérience, théorisée depuis grâce aux travaux de nombreux auteurs, c’est que le leader n’est pas un robot.


Ok, là j’enfonce une porte ouverte ! Vous ne suivez pas des articles inspirants pour lire des platitudes pareilles !

Le mec, il a inventé qu’une entreprise ne peut pas être conduite par un robot !

Ok ! Rigolez…


Mais pourquoi dans toutes les formations de base de management, on nous bassine de connaissances en tout genre ? Voire on nous apprend à apprendre comme s'il fallait battre toutes les Intelligences Artificielles !


Alors ?

Il nous faut faire autrement ! Et, c’est quoi, faire autrement ?

C’EST ACTIVER LE VIVANT QU’IL Y A EN NOUS ET L’ACTIVER BEAUCOUP.

Et comment on fait ?


Eh bien, c’est comme la marche et la parole, cela ne s’apprend ni dans les livres, ni à l’école, cela s’apprend en s’exerçant.


En exerçant quoi ? Nos ressentis et notre intuition avec notre intelligence pardi !

Vous savez ces capacités très corporelles qui font que nous ne sommes ni des purs esprits, ni des animaux comme les autres.


Ce n’est pas simple. Mais en fait, ce n’est pas compliqué non plus. C’est complexe ! C’est complexe au sens de ce cher Edgar Morin, le pape de la complexité.


Et c’est pour cette raison que la marche dans la nature est un excellent moyen pour appréhender cela.


Dans la marche, je peux scruter avec attention ce que me dit l’environnement, ce que me dit mon corps, ce que me dit l’autre, ce que je ressens de ce que me dit l’autre, ce que je perçois de ce qu’a reçu l’autre dans ce que je lui ai dit…


Et ainsi recueillir une infinité d’informations précieuses que je n’aurais pas trouvées entre quatre murs.


Quand j’ai marché avec l’un, je peux marcher avec l’autre, puis un autre encore, de telle sorte que la multiplication de ces interactions m’amènera une certaine objectivité, une certaine profondeur du questionnement.


Au fond, c’est l’occasion d’expérimenter la puissance du dialogue en profondeur pour mobiliser une autre énorme réserve d’énergie spontanée.

Et vous, quand est-ce que vous vous arrêtez pour échanger en profondeur avec vos co-équipiers ? Denis AUBRON


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